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STIMULATION COGNITIVE

Stimulation et maintien de la sphère cognitive chez les aînés

Nous sommes stimuler par tout ce qui nous entoure : les panneaux de circulation, la télévision, le contact visuel avec une autre personne, les bruits de fond, les mouvements des véhicules, les cellulaires et bien d’autres.

Nous cherchons à stimuler, voir surstimuler les enfants pour que leur développement soit à leur potentiel. Chez l’adulte, le travail, la gestion de la maison, l’éducation des enfants et la relation de couple prend une très grande place et aiguisent les capacités de tout genre. Pour ce qui est de la personne aînée, moins de charge de travail, plus d’enfant à s’occuper… bref, souvent moins de responsabilités qui vient solliciter les capacités et compétences.

Nous cherchons donc à offrir le maximum de stimulation aux aînés. Nos activités sont conçues pour encourager les personnes à entrer en actions joignant objectifs visés et les intérêts de la personne.

Le jeu à une imprtance très grand pour nous. L’utilisation de matériel nouveau attire l’attention, aintient la concentration, définit clairement un but à atteindre, permet à la personne de solliciter plusieurs sphères en même temps, en plus de partager un moment privilégier entre l’intervenant et la personne ainée.

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SOUTIEN COGNITIF :

Les liens cérébraux créés pendant la vie représentent la sphère cognitive. Celle-ci regroupe donc plusieurs grands éléments, dont la résolution de problèmes, le langage, la mémoire, le traitement de l’information, l’analyse et bien plus!

On sépare l’intelligence en deux volets. Le premier étant l’intelligence cristallisée, il représente ce que la personne a appris au fil du temps. La deuxième facette est ce que la personne savait déjà à sa naissance, donc ses connaissances innées. Il est observé que moins une personne utilise ses connaissances, plus vite ses capacités entourant ces acquis diminueront. De là l’importance de maintenir des activités en lien avec ces acquis.

La mémoire peut commencer à diminuer vers 55 ans. Évidemment, à cet âge, les conséquences sont minimes. Comme un muscle, plus la mémoire sera sollicitée, plus elle sera efficace, et ce, peu importe l’âge.

La mémoire à court terme est celle qui nous permet de garder en tête des éléments pendant un court moment, environ 20 à 30 secondes. Par exemple, retenir un numéro de téléphone le temps de trouver un papier et un crayon.

La mémoire à long terme nous permet de retenir des informations sur une plus longue durée. L’information peut rester quelques minutes à toute une vie.

La mémoire épisodique nous permet de nous remémorer des événements personnels.

La mémoire sémantique est notre dictionnaire de connaissances générales.
Comme vous le constatez, il y a plusieurs types de mémoire et celles-ci ont différentes fonctions dans le cerveau. L’une d’entre elles peut, en vieillissant, être davantage affectée qu’une autre. Par exemple, la personne pourrait se souvenir très clairement d’un livre qu’elle a lu et ne pas se souvenir d’un épisode de vie marquant. Troublant pour ses proches et pour elle-même, cette situation serait en lien avec la mémoire et le temps de réaction moins rapide de la personne. En effet, des changements physiologiques dans les neurones et le ralentissement des synapses sont à l’origine des changements dans la mémoire. Il y a donc un ralentissement dans le traitement de l’information.

Les jeux qui sollicitent l’attention, la concentration, la mémoire, ceux qui créent des liens entre deux éléments, ceux qui demandent d’expliquer son opinion, qui sollicitent la narration d’événements antérieurs sont quelques moyens mis en place pour soutenir les aspects cognitifs.

Mélangées à ces activités, une bonne routine, des activités physiques, des heures de sommeil adéquates et une bonne alimentation contribuent au maintien des compétences cognitives.